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Tu m'avais dit....
Tu m'avais dit un matin
De te tenir la main
De t'étreindre toute une journée
De vivre aujourd'hui comme une petite éternité
Tu m'avais dit....
Tu m'avais dit que tu m'aimais
Que plus jamais tu ne me quitterais
Que tu serais la sirène, moi le marin
Que je serais toujours ton lendemain
Tu m'avais dit....
Tu m'avais dit que l'amour n'est pas un jeu
Tu m'avais promit un ciel merveilleux
Tu m'avais dit qu'on aurait des enfants
Tu m'avais dit que j'étais un géant
Tu m'avais dit....
Tu m'avais dit que tu étais une autre
Qu'avec toi ce serait différent
Que tu serais la, toujours dans les tourments
Que tu serais devenue mon apôtre
Tu m'avais dit....
Et malgré tes promesses
Un soir, une rose à la main
Je t'ai cherché partout, en vain..
Jusqu'à découvrir que tu avais prit un autre chemin....
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Il est le fruit d'un amour ou celui d'un drame
Il a le cœur joyeux ou la peau marquée
Par les coups d'un lâche lui-même frappé
Il est parmi les hommes, ces fous, celui qui a une âme
Il est le petit garçon mit dans un placard
Pour unique compagnon il a son imagination
Véritable amie, mère de substitution
Elle n'en a pas moins un tendre regard
Elle le guide de la main au monde des rêves
Lui montre le chemin des contes de fées et des magiciens
Lui en profite et rejoins les autres gamins
Il va de rêve en rêve, de grève en grève
Et sur ces rivages imaginaires il veut s'abandonner
Inverser le cours du temps, ne plus revenir
Pouvoir comme les autres enfants être aimés
Pouvoir comme les autres enfants sauter, danser et rire
Mais il n'est pas l'enfant souhaité
Il est celui de l'opprobre et de la méchanceté
Alors il doit rester dans ce placard plein de haine et de colère
Il doit rester là, à attendre sa mère
La porte s'ouvre, ce n'est pas elle
C'est Dieu avec ses anges et une paire d'ailes
C'est la grande évasion pour ce laissé pour compte
C'est la justice de Dieu, de ses hommes il a honte
La fange a disparue, l'enfant peut sourire
Pour aller danser dans le ciel et monter très haut
Se contempler dans un nuage voir combien il est beau
Ce petit homme qui n'avait pas droit de vivre........
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Tu es mon bouclier
Devant la misère du monde
Tu te dresses devant moi
Tu es le gardien de mon temple
Tu es le geôlier de l'immonde
Tu es mon bouclier
Tu aveugles par tes mots l'ennemi
Qui tente de m'abattre lâchement dans la nuit
Tu me rassures et me console
D'un ange tu n'as pas seulement son auréole
Tu es mon bouclier
Tes bras sont comme ses ailes
Tes mots comme ses prières
Chacun de tes poèmes est un autel
Où l'on vient se recueillir pour nos frères
Tu es mon bouclier
Quand dans la nuit je transpire
De mes cauchemars, de mes délires
Tu chasses d'une parole ces ombres
Qui festoyaient dans la pénombre
Tu es mon bouclier
Alors de ce petit poème je te fais cet hommage
Un bouquet de fleurs je dépose pour Victoire
J'envoie la haine des autres sur un autre rivage
Et je garde pour toi la caresse du soir.
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Je tenais à remercier Vicolaste de son gentil commentaire
"De vicolaste Sujet: null a chier
je n aime pa ton site !!!!!!!!!!!! tu pourai parlai de toi on te voi meme pa en foto tes loisirs e pa faire des poemes a un sertain moment on en a marre je te fait confiance a plus"Et même si je comprends qu'on ne puisse aimer la poésie, ce n'est pas une raison pour faire un commentaire aussi violent (je parle du nul à chier)
Je te l'accorde, je pourrais être un peu plus drôle, parler un peu plus de moi, mais ce n'est pas en écrivant des commentaires comme ça que je vais changer, surtout en ne me laissant aucune chance de te répondre (pas d'adresse mail ni de blogg)
Voila, Vicolaste ce que je voulais te dire.
Je te souhaite une joyeuse année 2005!
Tom
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Tu es ma femme, ma destinée
Mon aurore boréale, mon verre d'eau de l'été
Le souffle chaud en hiver
Mon cosmos, mon étoile polaire
Tu es l'accalmie dans la tempête
Tu es ma joie, ma fête
Tu es ma lumière aux heures sombres
Tu es mon tout, mon ombre
Mes yeux malades, à ta vue ressuscitent
Mon corps tout entier palpite
Jusqu'à ton baiser salvateur
Guerrier de tous mes malheurs
Tu es l'héroïne de mes romans
Tu es ma drogue dans le tourment
Si un jour je dois mourir
Tiens moi la main et laisse moi partir
Sur la mer de l'infini
Tu sauras retrouver mon voilier
Nous partirons alors pour le dernier voyage
Celui du bonheur et du partage.......
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